| D’après la terminologie latine le mot «terreur» se traduir par «faire peur, terrifier». Le terrorisme est apparu depuis très longtemps, mais se seulement à partie de la 2ième moitié du XIXe siècle qu’il va devenir un facteur permanent de la vie social. Et si au début le mot «terrorisme» a signifié une action de l’État, au cours du XIX siècle il a évolué et a acquis une connotation péjorative pour désigner une action contre l’État, les actions violentes destinées à répandre la terreur et ainsi faire pression sur un État. En droit international il y a quatre grands types du terrorisme: (a) le terrorism individuel; (b) le terrorism organisée (extrêm gauche, islamisme); (c) le terrorism d’ État (c'est-à-dire le terrorism commandité, manipulée ou ignorée par un État); (d) le terrorism économique; (e) le cyber terrorism. Aujourd’hui on compte à travers le monde quelques 500 organisations terroristese illégales. Parmis les organisations les plus connue figurent l’IRA et l’ETA en Europe et «Al-Qaïda», «Hamas» et le «Hisboullah» au Proche Orient. Les terroristes pratiquent les enlèvements de gens, la détention des otages, le détournement d’avion, les exploisions sur les chemins de fer et dans les liuex publiques. Les attentans les plus sanglants et retentissants sont l’explosion du Centre Mondial du Commerce à New York (11 septembre 2001) commis par les kamikazes lancé 2 avions détoutrné contre les tours du centre commercial enterrant vivant plusieurs milliers de victimes innocents; l’attentat de Nord-Ost (au théâtre de Moscou; 23 octobre 2002) où cinquantaine de terroristes tchétchènes lourdement armés ont pris plus de 700 personnes en otages, dont plus de 119 ont perdu la vie ayant succombé aux effets du gaz utilisé par les forces russes lors de l'assaut, et l’attentat dans l'école numéro 1 de Beslan (1er septembre 2004) qui est devenue en quelques jours la scène d'un terrible carnage faisant 350 victimes dont 186 enfants. Il est probable que les contradictions sociales et économique accrues sont la cause de l’apparition du terrorisme. Le fossé se creuse entre les riches et les pauvres, entre les couches de la population et entre les peuples. Les attenants sont commis dans le but d’éveiller l’attention générale. Les armes de destruction massives sont utilisées dans le but de faire plus de victimes, faire plus peur, semer la panic. Parce que le terrorisme représente une menace pour la sécurité, la liberté et les valeurs de les pays et ses citoyens, les action de les gouvernements ont pour objectif d’apporter une réponse appropriée et adaptée pour lutter contre ce phénomène. La prévention, la protection, la poursuite et la réponse constituent ainsi les quatre axes de ses approche globale. La communauté mondiale s’atèle tant à la prévention et la répression des actes terroristes qu’à la protection des infrastructures et des citoyens. Elle s’attaque aussi aux causes, aux moyens et aux capacités du terrorisme. La coordination entre services répressifs et judiciaires internationaux est essentielle pour assurer l’efficacité de la lutte contre ce phénomène transnational. Le traité d’Amsterdam a créé les bases d’une action de l’Union, alors limitée à quelques États membres. Cette action s’est intensifiée avec les attentats qui ont marqué les États-Unis (en 2001) et l’Europe (Madrid et Londres en 2004 et 2005). Le terrorisme est devenu l’un des problèmes socio-politiques et moraux les plus menaçants par son ampleur, son inprévisibilité et ses consèquences, un problème avec lequel l’humanité fait son entrée au XXIer siècle.
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